Mes mains dans les nuages, à leur donner une vague forme de bateaux afin qu'ils glissent mieux, de radeaux prenant l'eau ou de tristes grenouilles que j'appelle Ophélie.
Loup y es tu ? Ne me touche pas. Je ne sais plus dessiner un rond. Descente, descente, petite descente. Je vais dans la rivière, est-ce que j'enlève mes chaussures ? Dis, est-ce que j'enlève mes chaussures ? Où es tu ? Où es tu ? Où es tu ?
"Ainsi même...
je t'aime, je te casse, je t'aime, je te casse, oh, ma jolie poupée, toute abîmée, je te laisse là, sur le banc dans la cuisine, sois sage, ne pleure pas, ne t'inquiète pas, ne demande rien, ou je te casse
laisse moi. laisse moi l'être. dégagé le temps. dormir dans ta main un peu de vent pas de mot aujourd'hui, ni oiseau ni lumière. tout s'effondre. une cabane sombre au bord du chemin. encore et toujours la lumière l'air tout autour dire je.